Premièrement, il a été annoncé par l’APICIL que les fonds en euros n’assurent plus à 100 % le rendement d’une souscription en assurance et même les versements complémentaires. De par cette annonce, les établissements d’assurance font aussi part de ce changement à leur client en cas de demande de souscription sur des fonds en euros. Ils présentent également d’autres offres comme les produits structurés, l’OPCI/SPCI, les investissements sur des supports financiers qui seront définis à l’avance par l’établissement. Mais il faut se demander si cette interdiction est vraiment valable.
L’utilité d’un investissement sur fond en euros
En évitant de faire souscrire une personne au fond en euros, l’établissement d’assurance pousse leurs clients à prendre des risques et à placer leurs épargnes dans le marché financier. Cependant, la première responsabilité d’un assureur est d’éviter de prendre de risque et de les gérer convenablement. Dans ce cas, avec les nouvelles procédures des établissements d’assurance qui limitent l’accès aux fonds en euros, ils obligent les épargnants à opter pour les unités de compte et l’assurance vie. À ce point, l’assureur va demander à l’épargnant de renoncer à une garantie sur son capital épargné et d’investir à risque sur les unités de compte. Cependant, il est conseillé de refuser cette démarche et d’opter plutôt au PEL ou au CAT au lieu de l’assurance vie.
Les inconvénients de l’assurance vie
Malgré le fait que l’épargne dans le fond en euro fasse un petit gain, on peut toujours espérer que le capital investi est garanti et sécurisé. C’est également le cas pour un Euro-croissance. Cependant, en assurance vie, le gain n’est pas aussi considérable alors qu’en le faisant, les risques dans la gestion de l’épargne ne pourront qu’accroître. En ce moment, de nombreux établissements obligent leurs clients à opter pour ce type d’épargne malgré les risques engagés.